
Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/colonna-choisit-un-nouvel-angle-de-defense_988340.html
Source : http://www.franceguyane.fr/actualite/france/la-defense-a-l-attaque-au-nouveau-proces-colonna-02-05-2011-89191.php
Yvan Colonna «a décidé de s’expliquer davantage» : Le troisième procès d’Yvan Colonna pour l’assassinat en 1998 du préfet de Corse Claude Erignac s’est ouvert lundi devant la cour d’assises spéciale de Paris. Se proclamant toujours innocent, ce tout jeune marié «a décidé de s’expliquer davantage», selon un de ses avocats. Cinq minutes avant le début de l’audience, l’accusé est entré dans la box, le visage éclairé d’un grand sourire pour adresser un geste de la main à ses proches, parmi lesquels sa nouvelle épouse, Stéphanie. «Yvan Colonna, né le 7 avril 1960 à Ajaccio, berger. Domicile actuel maison d’arrêt de Fresnes», a-t-il répondu au président qui lui demandait de décliner son état civil. Sans dire un mot à la presse, la famille du préfet Erignac, sa veuve, sa fille et son fils, avaient pris place, peu de temps auparavant, sur les bancs des parties civiles.
source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/yvan-colonna-a-decide-de-s-expliquer-davantage-02-05-2011-1432162.php
« C’est sa vie qu’il joue » : Yvan Colonna a lui-même contribué à construire cette image simpliste de « berger corse et patriote ». Lors de son procès en appel, il avait refusé que ses proches viennent à la barre. « La question n’est pas de savoir si je suis un bon époux ou pas, un bon garçon ou pas, ce qui compte, c’est si je suis coupable ou innocent », lâchait-il. Source :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/c-est-sa-vie-qu-il-joue-02-05-2011-1431106.php
Yvan Colonna, un troisième procès treize ans après : Yvan Colonna, 51 ans, le « patriote recherché », longtemps parti « prendre du recul » dans le maquis corse, a toujours clamé son innocence. Non, a-t-il toujours affirmé, il n’est pas « l’assassin du préfet » qu’une implacable « raison d’Etat » s’acharnerait à voir en lui. Non, martèle-t-il, il n’a jamais participé à l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella, où l’arme du crime avait été dérobée quelques mois avant l’exécution de Claude Erignac. Ni n’a jamais été membre de ce commando, groupe d’« anonymes » au nombre de sept, dont quatre l’ont accablé avant de se rétracter. A l’ouverture de son troisième procès, qui débute aujourd’hui devant la Cour d’assises spéciale de Paris, la ligne de défense d’Yvan Colonna semble pourtant floue.
Source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/yvan-colonna-un-troisieme-proces-treize-ans-apres-02-05-2011-1431103.php
Yvan Colonna : Son village corse est derrière lui – Yvan Colonna comparaît pour la troisième fois devant les tribunaux. Un autre procès pour déterminer si le berger de Cargèse est aussi innocent qu’il le prétend dans l’affaire de l’assassinat du préfet Erignac en 1998. À l’ouverture du procès lundi, la séance a été suspendue jusqu’à 18 heures.Retour dans le box pour Yvan Colonna. Le meurtrier présumé du préfet de Corse Claude Erignac repasse par la case Cour d’assises, un an après l’annulation de sa condamnation à perpétuité à cause d’un vice de procédure. C’est la troisième et dernière chance pour le berger de Corse de prouver son innocence, après huit ans de détention provisoire et 13 ans après les faits. Lui a toujours nié toute implication, alors que six membres du commando meurtrier ont été condamnés en 2003. Sa ligne de défense ? Yvan Colonna a toujours assumé son passé de militant nationaliste, tout en affirmant avoir coupé les ponts avec la lutte pour l’indépendance de l’île en 1989-90. La naissance de son fils aurait tout changé. Son quotidien n’aurait alors été que famille, bergerie et football (avec le club de Cargèse, Corse-du-Sud).
Source : http://www.francesoir.fr/actualite/justice/ivan-colonna-son-village-corse-est-derriere-lui-97334.html

