
Le syndicat réclame l’adoption d’une loi pour que davantage de bateaux basés en France aient un pavillon français de premier registre. Le Sénat doit examiner jeudi un amendement en ce sens du groupe communiste. Dans la ligne de mire des grévistes, Corsica Ferries, compagnie française battant pavillon italien, qui bénéficie en outre, au grand dam de la CGT, des aides dites sociales, permettant de pratiquer des tarifs préférentiels pour certaines catégories de passagers au départ de Nice et Toulon. Les grévistes demandent par ailleurs un « maintien » du partenariat entre la SNCM (Société nationale Corse Méditerranée) et la Compagnie méridionale de navigation (CMN) pour la desserte entre la Corse et le continent, après l’annulation, début novembre par la justice, de la délégation de service public (DSP) attribuée aux deux sociétés. Dans le cas spécifique de la SNCM, est également dénoncée l’ouverture d’une ligne au départ de Toulon, dont la première traversée devait avoir lieu vendredi.
Suite et source de l’article de France 3 Corse
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