ritratti di corsica

Le 21 septembre 2004 (unita-naziunale.org) En défendant le droit au respect de l’être humain, le droit à la dignité, le C.A.R. affirme son attachement indéfectible aux droits de l’homme.

Le 18 septembre 2004 à Rennu se tenait une soirée de soutien pour les prisonniers politiques avec SONNIU et PETRA MENTE

L’organisation des GHJURNATE INTERNAZIUNALE se situe sur plusieurs semaines, mais entre la mise en place et le rangement, pas moins de 5 jours de travail pour les bénévoles de Sulidarità et du mouvement. (diverses sources photos, dont Christian)

Le 10 juillet 2004 (unita-naziunale.org) Des milliers de personnes ont défilé samedi 10 juillet en fin d’après-midi dans les rues d’Ajaccio à l’appel de la quasi-totalité des organisations nationalistes pour réclamer « une solution politique » au problème corse.

Sulidarità et le Comité Anti Répression (indipendenza) organisaient ce 3 juillet 2004 avec A GHJUVENTU TARAVESA une journée de soutien aux prisonniers politiques à PILA CANALI.

Le 9 juin 2004 (unita-naziunale.org) Manifestation, occupation au Rectorat et répression contre les capésiens

Bombages, Affichages, Rassemblements, manifestations, tractages, soirées de soutien, journées de soutien, l’année 2004 a été une des plus mobilisatrices sur le terrain de la lutte de masse en ce qui concerne la question du Rapprochement. Sulidarità et le Comité Anti Répression font de la question du RAPPROCHEMENT un dossier incontournable et indispensable pour un processus de paix @Lazezu

Le 5 juin 2004 : La soirée a été dédiée à tous les prisonniers politiques incarcérés, à tous les militants recherchés et à tous ceux qui ne sont plus là. Le Comité Anti Répression, les Groupes I VAGABONDI, Vaghjime et Sonniu ainsi que toutes les personnes présentent ont rendu un vibrants hommage à Gilles Ragache.

Manifestation du 15 mai 2004 organisée par les syndicats étudiants et lycéens à Bastia.

Le 10 mai 2004 (unita-naziunale.org) Dans la matinée, une soixantaine d’étudiants, militants nationalistes et membres des familles des jeunes ont enfoncé les grilles du palais de justice avant d’être repoussés par des gendarmes mobiles en tenue anti-émeute, selon des images diffusées par France 3-Corse.L’accès au Palais de justice avait été refusé aux familles.