
Reste que les références passées à ces deux résolutions ne doivent pas être motif d’abandon de notre part à une forme de fatalité. Il nous faut exiger et obtenir la libération des preso sans délai, et la libre circulation en euskal herri de tous les actuels réfugiés. Soyons inflexibles là-dessus ! Ne laissons jamais les stratégies et les objectifs –aussi généreux soient-ils !- prendre le pas sur le sort des hommes et des femmes, d’autant plus lorsque ces hommes et ces femmes vivent des situations humainement insupportables. La Paix ne peut être discutée, définie, construite, en laissant tous ces hommes et toutes ces femmes (preso et réfugié-e-s) plongés dans un quotidien mortifère. Faire l’impasse sur cela revient à renoncer au cœur même de notre combat qui est celui de la construction, de l’avénement d’une société respectueuse des hommes et des femmes dans toutes leurs dimensions.
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