
« Cela peut paraître étrange, mais nous avons la certitude que le cinéma corse a une place sur la scène internationale », a soutenu Sylvain Ettori, « même si du côté de Paris, on nous rit un peu au nez ». En revanche, du côté des Américains ou des Anglais, il y a une énorme volonté de mettre en avant un cinéma doté d’une culture forte, comme la Corse. Et l’Irca pose une simple question : « Qu’est ce qui nous empêche d’être un cinéma à part entière sachant, par exemple, queMarius et Jeanette, un film fait à Marseille, est le film français le plus vendu aux États-Unis ? », soutient Sylvain Ettori.
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