
Par ailleurs, elles lèvent les contraintes sur les tarifs sociaux et sur le plein tarif ; cela permettra aux compagnies d’optimiser leurs recettes tarifaires, mais également de minimiser les compensations de la collectivité. Mais cette mesure, demandée par Air France sera-t-elle suffisante pour convaincre la compagnie de répondra à l’appel d’offres… Rien n’est moins sûr…
Et c’est bien la première fois que la candidature d’Air France sur les lignes Corse-Paris n’est pas acquise. Pour la convention qui s’achève, le bilan est mitigé pour les compagnies delégataires, les lignes de Paris affichent un déficit après compensation de 13,8 M d’euros. L’arrivée des low cost, la hausse du carburant, les coût des escales et un cahier des charges un peu trop rigide expliquent en partie ce déficit. La session reprend ce matin avec l’examen de la feuille de route de la langue corse présenté par le conseiller exécutif Pierre Ghjonga.
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