La Corse continue de s’enfoncer dans la violence. Au delà des morts qui égrainent une insoutenable actualité, le peuple corse est également victime de ces dérives qui gangrènent toute la société.
Les limites sont franchies une fois encore avec les assassinats, que les communistes condamnent, de Jean Dominique Allegrini-Simonetti et d’Antoine Sollacaro. Les Corses souhaitent pourtant en finir avec cette violence comme ils l’ont déjà exprimé par de grandes manifestations populaires lors de l’assasinat du préfet Erignac.
L’État, dont c’est la fonction régalienne, doit agir sans faille. Et en même temps, un travail sur les valeurs fondamentales qui fondent la société doit être mené en liaison avec les solutions nécessaires pour résoudre les problèmes sociaux qui plombent la Corse et particulièrement sa jeunesse.
le secrétaire départemental Maxime NORDEE
19 octobre 2012
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